En fait Luc Ferry ne se trompe pas dans deux de ses analyses. Sur la notation d’abord. Il dit : « je peux vous dire que les écarts de cinq à six points sont archi-fréquents, malgré les commissions d’harmonisation des notes. J’ai pu voir de mes propres yeux la même copie notée 3 par un correcteur et 17 par un autre ! » Ensuite sur le programme, il dit : « En fait, notre programme est un avatar de la victoire du christianisme sur la philosophie grecque. Dans l’Antiquité, la philosophie (...)
Il y en a un qui enseigne. Il fait ce qu’il peut.
Il y en a un autre qui note. Il fait ce qu’il peut.
Entre les deux, il y en a un qui récite.
Alors le noteur note l’enseignant sur le dos du pauvre malheureux à qui on demande de réciter.